Bar Chez Maurice – 26 septembre 2009

Bar Chez Maurice – 26 septembre 2009


Hier soir, nous étions de retour au bar Chez Maurice. Alors que la première fois il avait fallu gagner notre public, cette fois l’accueil fut, dès le début, très chaleureux. Le bar était rempli à craquer et plusieurs en avaient profité pour venir nous voir une seconde fois. C’est bon signe. Nous avons été audacieux en débutant tranquillement notre premier set avec Even in the quietest moments, contrairement à nos habitudes. La montée graduelle en intensité a, je crois, été appréciée du public, mais comme dirait notre batteur, c’est plus facile de se dérouiller quand on a une toune comme Ain’t nobody but me au tout début. On en a profité pour jouer pour la première fois Loverboy et ajouter Babaji , Lord is it mine, Two of us et Sister Moonshine que nous n’avions pas joué à notre premier passage à ce bar.

Je voudrais souligner la performance de Jean-François Ouellet au saxophone. Jean-François en était à sa dernière performance avec nous, à tout le moins pour un bon bout de temps, puisqu’il s’est joint au Cirque du Soleil pour des représentations à Chicago et New York à partir de novembre. Quelle performance sur Crime of the Century ! Sa dernière note dans le plafond et soutenue m’a donné des frissons. Comme je lui disais, j’aurais aimé être dans la salle pour l’apprécier encore plus, plutôt que l’avoir dans le dos. Sûrement sa façon de nous dire au revoir.

Malgré son départ, nos activités ne ralentissent pas. Nous serons pour la première fois à Québec, ville d’où je suis originaire, les 30 et 31 octobre au bar La suite. Ce bar semble un peu plus petit que les derniers que nous avons faits, mais le band est bien heureux de s’y produire et de prendre la route pour la première fois ensemble. Il y a des rumeurs que notre pianiste Roger pourrait se déguiser en serveuse de Breakfast in America pour l’Holloween !

Par la suite, nous jouerons à Sorel et prendrons ensuite une pause car Rick, notre guitariste chanteur, s’en va en Inde de la mi-décembre à la mi-janvier. Espérons qu’il ne nous reviendra pas avec une cithare !

Claude